Depuis mon tout jeune âge, depuis le moment, où j'ai ouvert les yeux pour la première fois, j'ai reçu un "malus" de vie.

D'habitude, en règle générale mon "malus" ne me dérange pas plus que ça, m'obligeant juste à quelques contraintes, je m'y plie comme je peu afin de vivre une vie "normale."

Aujourd'hui, après t'en d'années, j'ai eu pour la première fois, deux vies entre mes mains d'humain, une adoption de petites créatures que j'ai jugé non pas comme mes enfants mais comme des être proches. S'attaché à un animal, surtout quand ils sont petits...

Aujourd'hui, après seulement 87 heures en leurs compagnie j'ai du les confier à un ami, car mon corps qui, souvent me joue des tours ne souhaite pas la présence de petits être.

Me rendant malade, m’écriant au sevrage de leurs présences que j'avais t'en souhaité, j'ai du lâcher ma tentative de pouvoir vivre avec elles.

Kara, Nalla, juste deux petites rates, d'à peine deux mois... Après si peux de temps à nous côtoyer. Je m’y suis vite attaché, juste à ses deux petites frimousses. En quelques heures elles me reconnaissaient déjà et restaient des heures sur mes épaules. Vous allez me manquer :-)

Aujourd'hui encore je hurle à une demande, le pourquoi, pourquoi je dois vivre avec ce "malus"?

Pourquoi la vie m'a contraint à vivre avec cela, alors que je ne souhaitais que prendre soin de deux animaux. Encore la nourriture je puis l'admettre, cela ne me dérange pas, que Gaïa me rejette par ces plantes empoisonnées pour ma peau, cela ne me dérange pas. Je trouve tout de même des substitues, des leurres pour pouvoir vivre de façon normal.

Mais pourquoi la nature qui me puni peut être de quelques actes inconscients, pourquoi donc m'empêche t'elle d'avoir des petits être sous mon aile à nourrir, à héberger, à aimer?

Juste un instant sombre en revoyant mes petites amies dans leur cage... Moi qui voulais les laissé en liberté une fois leurs confiances atteintes…

Mon malus est pesant à mes pensées. Il m’empêche de nouer des liens avec des animaux que j’aimerais comprendre, protégé, aimé. Juste un échange avec une autre « forme de vie …»

 Je m'y résous, avec tout de fois un petit pincement au cœur pour mes deux nouvelles amies qui sont en sécurités :-)

Le temps passe plus vite avec les années, ce qui me semblait long me parait maintenant cour.

Une année, il y en a quelques une en arrière, une année me semblait une éternité, maintenant, une année, ce n'est plus grand chose. L'âge ou la patience?

"J'ai réussis," je peux enfin le dire, j'ai réussis, même si cela n'est pas grand chose. Déjà un pas en avant, un pas qui me permet de tenir cette vieille promesse.

Beaucoup de choses ont pries fin, d'une façon brutal, un coup sec au cœur et à l'esprit. C'était pourtant prévu, la fin de la période "pré-jeune adulte." Toujours rallonger la vie de stade, ça permet de si "retrouver" ou du moins de ne pas avouer que le temps qui passe fait peur^^

Avant ces changements j'étais heureux, après ces changements je suis heureux, mon émotionnel et mon intellectuel sont intactes, juste que ça fais bizarre^^

La vie pleine de changement, pourrait-on dire que les seuls malheureux sont ceux qui ne changent pas?

Le temps me le dira. Toutes ces lignes juste pour dire que plusieurs choses vitales ont changé, juste pour dire que je suis heureux de voir mon parcoure de vie, de voir ces changements, même si cela est "dure" parfois.^^

Un pincement au cœur, un cœur tout heureux de son passé^^

Le temps passe, les expériences affluent. Qui aurait dis que à mon âge je voudrais encore continuer les études?

Bah suicidaire d'un côté de vouloir faire une école qui m'a déjà refusé 3 ans au paravent. mais j'ai envie c'est ça le grand drâme.

Un truc con, vraiment con, cette envie est née d'une chose simple, vraiment simple et innocente... Une promesse que je m'étais faite à l'âge de 12 ans, une promesse que moi aussi je ferais comme ma grande soeur et mon frère, que moi aussi je pourrais déclarer fièrement, "j'ai réussis."

Je doute de tout et de rien, c'est pas grâve, c'est une expérience en plus, le chemin droit ne mène jamais vraiment au résultat escompté.

Deffis personnel, content de vouloir tenire une si vieille promesse. Une promesse dite à un enfant. :)

Une chose bizarre, être triste avec le sourire aux lèvres.

Triste enfin triste avec de la fatigue, beaucoup de fatigues... Mais je sais pas je pourrais pas vraiment d'écrire mon état réellement^^

Mais j'ai une preuve d'un changement non pas de ma philosophie de vie mais de ma pratique de celle si^^

C'est pas si terrible pour finir enfin, un peux à bout de force, mais avec un sourire un surtout, de l'espoir plein le coeur :)

Je rectifie, sourris plus et là je fais la tronche au monde entier... Bah !

Le temps qui s'écoule...

J'avais déjà vécu ça une fois. Je me disais que sa serais pas si dure une deuxième fois^^

Là je suis presque à bout. 8 jours, c'est rien 8 jours... Encore 8 jours...

Je ne sais pas comment l'expliquer... Je suis juste à bout, une patience qui arrive à son terme... Peur de pêter un plomb...

J'explose tous les jours un petit peux, j'ai peur de vraiment craquer... De faire une crise de nerf en somme^^

Marre de cette  horloge qui se fiche de moi enmontrant les secondes, ces si longues secondes s'écouler...

J'ai l'impression que ma vie ralenti avec... Mais pas mon cerveau ni mon coeur...

 L'amour ne fait pas mal, c'est moi qui me fais mal en ne sachant pas attendre l'être aimé...

Mais voila quoi^^ Un peux au bord d'un gouffre, un gouffre que je creuse à chaque mot :)

Je n'ai qu'un souhait: qu'elle revienne dans mes bras, et cela le plus vite possible...

A ma Muse, Ma puce, mon Amour... Je t'aime tellement :)