Le rois est mort, vive le rois

Les petites choses de la vie qui nous empoisonnent, on y consacre beaucoup de temps...

Et une fois comme dans chaque vie, une chose arrive qui nous fais voir la vie différament.

On vit avec une horloge en haut de la tête sans vraiment s'en rendre compte. Ce que ça peut faire mal de voir l'horloge d'un proche aimé...

Une dâte mise en grand, une échéance proche. Le pire c'est de savoir... Savoir combien de temps il reste pour ce dire au revoir, adieu...

Pas encore là, mais trop proche, une échéance que je maudit...

Pourquoi alors cet phrase dite par cette personne me reste en tête?

"Pourquoi pleurer les morts? Ils s'en foutent eux, ils sont plus là. Profite des vivants tu verras c'est plus intéressant."

Un brin de nostalgie, un regard vers l'avenir.

Hier je maudissais mon chemin de m'avoir séparé du sien, aujourd'hui je vois que nos chemins entrecroisés me mèneront vers un prochain croisement.

Hier je ne voyais que l'ombre de mon future, chargé de nuages et de pluie, aujourd'hui je vois que la lumière peut venir de n'importe où.

Hier j'étais triste, aujourd'hui je vois que la vie est mienne.

Hier, c'était hier justement.

(Je ne t'oublie pas, tu auras toujours ta petite place au fonds de moi =) )

Suis-je triste, parce qu'elle est partie? Ou parce que je suis seul?

"La recherche de la vérité ce passe à l'intérieur de nous même."

Quand l'entourage ne peut plus répondre, quand mes rêves trahissent ma frustration, que dois-je en déduire?

Pourquoi mes songes se déroulent-ils toujours ainsi, en discution philosophique avec mes proches perdu.

Je ne me comprend pas. J'avance et eux me gardent en arrière.